Contrôle des maladies avec ENDOterapia Vegetal
L’endothérapie végétale constitue un bon outil pour le contrôle de certaines maladies microbiologiques qui affectent les arbres ornementaux et forestiers.
Une des plus communes et pour laquelle nous obtenons de très bons résultats est celle causée par les champignons du groupe des pourritures de racines causées par différents types du genrePhytophthora (Fig. a), Pythium ou Armillaria (Fig. b).
Une autre maladie très importante dans notre pays est la Sèche des cupressacées, causée par plusieurs espèces de champignons, qui se distinguent parce qu’ils affectent les brindilles, comme Pestalotiopsis guepinii, Truncatella angustata, Diplodia mutila (Fig. c) et Herpotrichum juniperis, ou les branches principales et le tronc, comme le Seiridium (Coryneum) cardinale (Fig.d), Cytospora sp, Phomopsis sp et Diplodia sp..
Il existe d’autres maladies qui affectent différentes espèces arboricoles, comme, par exemple:
- La Graphiose de l’orme (Ceratocystis novo-ulmi) (Fig. e), qui a causé la mort d’un grand nombre d’exemplaires d’ormes dans notre pays.
- L’Anthracnose (Apiognomonia veneta, Guignardia aesculi ou Gnomonia spp) qui peut affecter des espèces du genre Platanus, Aesculus, Ulmus ou Juglans.
- La Diploïde (Diplodia mutila), connue comme la sèche des chênes, qui affecte différentes espèces du genre Quercus.
- La sèche des conifères (Sphaeropsis [=Diplodia] sapinea) qui affecte différentes espèces des genres Pinus, Cedrus et Abies.
Contrôle
La plupart des maladies précédemment citées affectent les arbres en raison d’une cause indirecte, comme ceux qui sont soumis à un stress hydrique, un compactage du terrain, une asphyxie radiculaire, des dégâts produits par une forte pression de fléau, des élagages abusifs, des inclémences météorologiques, etc.
Donc, il faut d’abord trouver la cause de ce facteur préalable de faiblesse et agir en conséquence. Normalement tous les traitements curatifs d’endothérapie végétale face aux maladies de ce type sont accompagnés de mesures de cultures, ou d’autres types de traitements complémentaires pour un bon contrôle de la maladie.

Fig. a – Affection de Phytophthora sur un exemplaire de Aesculus.

Fig. b – Cedrus affecté par Armillaria

Fig. c – Cupressus affecté par Diplodie.

Fig. d – Cupressus affecté par Seiridium.

Fig. e – Ulmus affecté par Ceratocystis novo-ulmi.

Fig. f – Résultat d’un traitement avec ENDOterapia Vegetal® sur des cerisiers affectés de Phytophthora […lire plus]